20-03-2016: Lettre envoyée aux dirigeants de l'Église catholique romaine en sol canadien et romain, à la Société canadienne de théologie, au réseau Femmes et Ministères, au curé de ma paroisse. Ceci fait suite aux baptêmes de deux petites filles dont l'une est née au jour du 50e anniversaire de la Constitution dogmatique Dei Verbum, le 18-11-2015. Les baptêmes ont eu lieu le 20-03-2016, en ce jour du dimanche des Rameaux. La lettre questionne les fondements du ministère ordonné au sein de l'Église catholique selon les critères de discernement inscrits dans la déclaration Inter Insigniores sur la question de l'admission des femmes au sacerdoce ministériel (16-10-1976).
Distingués membres de l'Église catholique romaine
La question des fondements du ministère ordonné selon Inter Insigniores demande un éclairage particulier C'est pourquoi, je crois intéressant de présenter cette réflexion théologique dans le cadre des baptêmes des petites filles au sein de l'Église catholique romaine, critères qui ne seront pas dissociés des baptêmes des petits garçons. Quand la mystique interpelle les fondements, une espérance jaillit:
Phénoménologie de la Vérité III 50e anniversaire de la Constitution DEI VERBUM « la question des fondements du sacerdoce ministériel »
Afin de rendre à l’Église les grâces baptismales reçues, je donne suite aux courriels déjà remis et présentés en deux plis séparés sous les thématiques Phénoménologie de la Vérité I-II (1):
1: La spécificité de cette lettre: la mystique en théologie du ministère:
En premier lieu, je désire mentionner la spécificité de cette lettre, soit dans un premier temps le moment de la naissance de la petite Naomie, née le jour même du 50e anniversaire de la Constitution dogmatique sur la révélation divine DEI VERBUM(18-11-2015). Cette grâce spéciale reçue favorise aujourd’hui une nouvelle prise-de-conscience envers « la question des fondements de tout renouveau » au sein de la vie de notre Église. Mon questionnement porte plus spécifiquement sur les fondements du ministère sacerdotal, tel que décrits dans la déclaration Inter Insigniores: le sacerdoce ministériel dans le mystèrede l’Église. La dimension ecclésiale m’interpelle plus spécifiquement, soit le ‘lieu théologique’ d’une réforme attendue. Je crois qu’en ce lieu, il ne s’agit pas tant de la décision d’un lieu réservé à une communauté spécifique mais davantage de la confirmation ecclésiale par Dieu lui-même du renouveau attendu, en des temps spécifiques d’une question posée. Selon ma perception, l’accueil de la nouveauté au sein de la vie de l’Église serait davantage une question théologique. C’est ainsi que je perçois ces grâces ecclésiales reçues lors des baptêmes des petits enfants. En ce lieu spécifique se situe mon interrogation. Serait-ce ainsi qu’il faut comprendre l’affirmation d’Inter Insigniores présentée comme suit: « l’authentification par l’Église se trouve ici indispensable: elle fait partie constitutive de la vocation: le Christ a choisi « ceux [et celles] qu’il voulait » (:Mc 3,13/cf. I.I.a.38). Et je le crois, le Christ est toujours agissant. En ce lieu ne se situe-t-elle pas la tradition « vivante » en Église « du » Christ. Vous ayant remis précédemment les sources qui me guident, je vous indiquais les moments forts de mon expérience spirituelle vécue du ler novembre 1977 au 29 mars 1978, expérience totalement biblique et doctrinale, tel que cité ‘en partie’ en Annexe de mon volume. À cet égard, je renouvelle ces informations, soit la remise de mon volume en deux exemplaires à S.S. le pape Benoit XVI le 17-10-2010, lors de la canonisation de saint André Bessette à qui je dois beaucoup. Il vous est possible de retrouver mon analyse sur mon site web à la rubrique consacrée à mon expérience spirituelle en annexe (iv): Puisque mes recherches concernent plus spécifiquement la question de l’admission des femmes au ministère sacerdotal, je crûs alors important de remettre des exemplaires aux dirigeants de l’Église canadienne (septembre 2010). Le titre du volume publié est le suivant: La DéclarationInter Insigniores, Analyse et prospectives à partir de la pensée de Hans Urs von Balthasar. À cet égard, ce fut un honneur de recevoir de S.S.Benoît XVI le livre qu’il publiait sous la thématique suivante: L’enfance de Jésus. Peu de temps avant de mourir, Monseigneur le Cardinal Jean-Claude Turcotte me soulignait l’importance d’un tel présent, suite de la remise de mon volume. Il m’indiquait un volume de M. Jean-Marie Guénois: Jusqu’ou ira le pape François? On y discerne le lieu qui permet une véritable réforme ecclésiale, soit l’importance de la ‘mystique’ dans la vie de l’Église et de la papauté: « Cela paraît dépassé, dit l’auteur, mais rien ne s’accomplit pour un pape sans cette dimension mystique » (p.52). Or en ce dimanche des Rameaux, deux petites filles furent baptisées. La première du prénom d’Emma et la seconde du prénom de Noémie. C’est pourquoi, je confiais la première à la protection de sainte Emma d’Allemagne. En notre paroisse, il s’agissait de la 3e petite fille à se prénommer Emma. Il faut savoir que la première petite Emma fut la source des nouvelles interpellations qui seront citées subséquemment. Aujourd’hui, la naissance de la petite Naomie attire davantage mon attention car elle me conduit vers le 50e anniversaire de la Constitution dogmatique DEI VERBUM sur la révélation divine, le 18 novembre 2015, jour de sa naissance. Cela m’incite à revoir les fondements d’une révélation personnelle sous sa dimension ecclésiale par l’approfondissement, dans un premier temps, de la « révélation du Seigneur » à sainte Thérèse d’Avila (18 novembre 1572). Cette révélation fut confirmée au Cantique spirituel de saint Jean-de-la-Croix, co-réformateur du Carmel.
Sous quatre thématiques je tenterai d’expliquer l’évolution de ma pensée théologique. Je vous la soumets comme suit: l) intégration de la révélation du Seigneur à sainte Thérèse d’Avila chez saint Jean-de-la-Croix; 2) la beauté comme point de départ de l’analyse théologique chez Hans Urs von Balthasar; 3) le sacerdoce baptismal et actualité ecclésiale; 4) Année de la Miséricorde et 50e anniversaire du Message du Pape Paul VI aux femmes, le 8 décembre 1965, fin du Concile Vatican II.
1.: Intégration de la révélation du Seigneurchez sainte Thérèse d’Avila au commentaire du Cantique spirituel chez saint Jean-de-la-Croix. En ce jour du 18 novembre 1572, le Seigneur dit à Thérèse de Jésus: « Tu auras soin de mon honneur comme ma véritable épouse: mon honneur est le tien et ton honneur est le mien » (relations spirituelles/XXVIII). Cette valeur d’intégration chez saint Jean-de-la-Croix sera présentée sous la thématique christique de l’épouse au Cantique spirituel, strophe 36,5:
Chant d’amour entre l’Épouse et l’Époux qui est le CHRIST
La strophe intitulée: Allons-nous voir en ta beauté, le commentaire décrit comme suit cette pensée:
« Tout ce qui est à moi est à toi, et tout ce qui est à toi est à moi » (Jean 17,10). À lui par essence et en tant que Fils de Dieu par nature , à nous par participation et en qualité de fils adoptif. Le Christ, qui est la Tête (Col 1, 18), n’a pas parlé en son nom seulement, mais au nom de son corpsmystique tout entier, qui est l’Église (Col 2, 24). Celle-ci participera à la beauté de l’Époux (…) . 7: L’âme ne peut se voir dans la beauté de Dieu qu’en se transformant dans la sagesse de Dieu ». Cela signifie au nom du Christ Jésus « en » son Église. Nous retrouvons en ce lieu l’interrogation posée dans la déclaration Inter Insigniores, chapitre 6, « le sacerdoce ministériel dans le mystère de l’Église ». Dès lors, selon I.I.« l’authentification par l’Église se trouve indispensable: elle fait partie de la vocation ». C’est pourquoi, j’interrogerai mon maître à penser Hans Urs von Balthasar qui ne dissociait pas l’évidence subjective et l’évidence objective d’une expérience spirituelle. Elle en est le point de départ et la visée théologique. Chez Balthasar, cela signifie indissociabilité entre le beau - le bon - le vrai. Cependant, la beauté sera l’objet spécifique du questionnement, selon l’Esprit de Vérité : 16e vol. de sa trilogie).
2: La beauté comme point de départ et visée de la théologie d' Hans Urs von Balthasar: En introduction du premier volume de la trilogie balthasarienne (17 vol.), Hans Urs von Balthasar explique le point de départ et la visée de son esthétique théologique:
« Ce n’est pas, dit-il, seulement pour l’homme [ voir la personne ] qui pense, le philosophe que le point de départ est un problème auquel il ne peut se soustraire et qui déterminera toutes ses démarches ultérieures; pour [la personne] aussi qui répond, qui se décide, le point de départ est une décision première grosse de toutes celles qui suivront.(…) Le mot par lequel nous commencerons, dans ce premier volume, toute une série d’études théologiques, est un mot que le philosophe ne placerait pas au début de ses investigations, mais plutôt à la fin; un mot qui n’a jamais eu, dans le concert des sciences exactes une place et une voix dont la permanence fût garantie; un mot qui, au milieu des spécialistes affairés, semble ne pouvoir être choisi comme sujet d’études que par un amateur oisif; (2) un mot enfin, à l’égard duquel la religion et tout spécialement la théologie ont, à l’époque moderne, pris énergiquement leurs distances (...) Ce mot est: beauté; c’est lui qui pour nous sera le premier. Beauté, c’est la dernière aventure où la raison raisonnante puisse se risquer, parce que la beauté ne fait que cerner d’un éclat impalpable le double visage du vrai et du bien et leur réciprocité indissociables».
Cela signifie interrelation entre le beau, le bon et le vrai (3). C’est pourquoi, la question des fondements de tout nouveau ministère ne peut se comprendre, selon ma pensée, sans tenir compte en même temps du sacerdoce baptismal de la personne interpellée et l’expérience première qui l’y conduit.
3: Le sacerdoce baptismal source de bénédictions:
Or, sur la question qui nous occupe soit le sacerdoce baptismal comme source du ministère sacerdotal, il me fut donné de saisir l’importance de sainte Emma d’Allemagne dans la vie de notre pape émérite S.S. Benoît XVI lors du baptême de la première petite Emma. Au jour qui lui est consacrée dans la liturgie figure l’ élection à la papauté du pape Benoît XVI (19 avril 2005). Ce fut aussi en ce jour anniversaire que fut présenté son analyse-critique de la question de l’admission des femmes au sacerdoce ministériel. En ce lieu, celui-ci portait la question du féminin et du masculin en tout être humain comme interrogation du ministère sacerdotal (Osservatore Romano, 19 avril 1977). Depuis mon retour en pastorale baptismale paroissiale (2012 ...), il y a cette constante. Chaque année, une petite fille du prénom d’Emma vient me rappeler ces instants précieux qui ont confortés ma relecture ecclésiale des expériences familiales vécues:
1: source de bénédictions familiales:. .i) 25-03-1962: baptême de mon premier fils baptisé au jour de l’Annonciation du Seigneur à Marie: fondement de la spiritualité chez saint Louis-Marie-Grignion-de-Montfort, objet de mes recherches à la maîtrise en théologie (1990) ; . ii) 21-11-1964: baptême de mon second fils baptisé au jour de la Présentation de la Vierge au Temple . Ce jour « même » fut aussi un moment fort de la vie de notre Église par les signatures des différents décrets et constitution dogmatique Lumen Gentium. .iii) 19-01-1992: baptême de mon premier petit-fils, né au jour de l'Année centenaire du diocèse où il est né, en la fête de sainte Cécile, patronne du diocèse (1991-1992); lieu de ma première homélie baptismale en ce dimanche consacré à l’oecuménisme, jour fondamental pour S.S.Jean XXIII selon Congar (19-01-1959); ». iv) 13-11-1994: ‘ministre extraordinaire’ du baptême de mon second petit-fils, né en la fête de sainte Marie-Madeleine. Autorisée par l’évêque du lieu, monseigneur Robert Lebel. Je découvrirai par la suite que ce jour fut aussi lieu d’intégration de saint Joseph dans la liturgie par S.S.Jean XXIII (1962).(4)
b) source de bénédictions paroissiales: Mon retour comme bénévole en pastorale paroissiale (2012 à nos jours) fait suite à divers engagements pastoraux: premier engagement paroissial à la paroisse ci-mentionnée (1978/1984); professeure à la formation collégiale des catéchètes paroissiaux; animatrice de pastorale scolaire au secondaire 2 et 3 (+1500 élèves). Tout cela en alternance avec ma formation théologique et mes recherches sur la question posée par Inter Insigniores (baccalauréat spécialisé en théologie; maîtrise en théologie fondamentale en spiritualité sacerdotale; études doctorales et rédaction de la thèse doctorale publiée sous le titre plus pointu de la question posée). C’est pourquoi, à mon plus grand étonnement, je serai à nouveau interpellée par la spécificité des grâces baptismales reçues. Plus spécifiquement lors des baptêmes de petites filles ou de la sainte qui protégeait ces instants précieux! À cet égard, si dans notre paroisse de la Présentation de la Vierge Marie au Temple c’est le prénom de la première petite Emma que je re-découvrais l’importance des grâces baptismales reçues, celles-ci se sont multipliées depuis, en conformité avec les canonisations féminines ou les différentes anniversaires marquantes de la vie de notre Église. Elles furent remises aux dirigeants de notre Église avant de les publier sous la rubrique de mon site web consacrée au sacerdoce baptismal. En quatrième lieu, je présente un dernier aspect: Message aux femmes et Année extraordinaire de la Miséricorde.
4: 50e anniversaire du Message adressé aux femmes et lancement de l’Année extraordinaire de la Miséricorde C’est pourquoi en cette Année de la Miséricorde, je ne voudrais pas oublier le moment de son lancement « en même temps » comme 50e anniversaire du concile Vatican II et 50e anniversaire du Message aux femmes du pape Paul VI (08-12-1965). En ce lieu, le pape Paul VI reconnaissait la « vocation de la femme » comme avenir de l’Église. «Vous êtes, dit-il, la moitié de l’immense famille humaine ». Dans ce contexte, j’ose formuler une demande: comment ne pas reconnaître la constance de cet Appel de Dieu au sein de la vie de Son Église, non seulement par notre participation comme collaboratrice, directrice, philosophe, théologienne, mais aussi par l’ouverture des ministères ecclésiaux féminins jusqu’au ministère sacerdotal. Car tel est le lieu où ces grâces baptismales reçues ecclésialement ont conduit mes réflexions théologiques. Pour ma part, je sais que je reçus cet Appel. Je sais aussi que cet appel fut confirmé par mes professeurs de théologie et mon accompagnateur spirituel, le père Florian Larivière, s.j. À cet égard, je sais aussi pertinemment que sans études théologiques, je n’aurais pu comprendre ce que je vivais profondément. De là, la formation théologique nécessaire à sa compréhension! Née un 4 février en la fête du cardinal Pierre de Bérulle, guide de mes recherches bérulliennes à la maîtrise et mariée au jour même du congrès des joséphologues consacré au « mariage » de Marie et Joseph comme fête liturgique (10-06-1961), je ne porte qu’un désir, soit celui de «rendre grâces à Dieu dans la prière » pour ces faveurs obtenues personnellement et ecclésialement. En terminant, j’énoncerai ce voeu:
Qu’en cette Année extraordinaire de la Miséricorde, notre Église puisse ouvrir ses portes non uniquement aux diverses Églises chrétiennes et interreligieuses, mais aussi et surtout qu’elle puisse ouvrir les « portes féminines » de rédemption par une véritable réforme ministérielle!
Vous présentant mes plus cordiales salutations, je vous remercie pour toute action entreprise envers les ministères féminins selon l’assentiment reçu ecclésialement dans le Christ Jésus.
Margo Gravel-Provencher, théologienne
P.S. si vous le désirez, je vous remettrai l’entièreté de mon expérience spirituelle qui se confirmait dans différents événements personnels, familiaux et ecclésiaux. Tel que me le soulignait Mgr Carlo Curis, « vous vivez profondément le mystère de l’Église ». (24-12-1998). Et, j’eus foi en sa parole ! Notes de fin de la lettre:
1 Je la présentais lors de mon dernier courriel: Phénoménologie de la Vérité II 2 Je le souligne III Hans Urs von Balthasar, La Gloire et la Croix, 1. Apparition, DDB « Théologie 61 », 1990, pp. 15-16. IV Je me limiterai à ces principaux événements personnels vécus en conformité avec la vie de notre Église.
Aux dirigeants de l'Église canadienne: Membres distingués de notre Église: Présidents et Secrétaires des diverses Conférence, Assemblée, Archevêché, Société Canadienne de Théologie et représentante de Femmes et Ministères, curé de ma paroisse, le père Robert Bouchard et amies
Une fois encore le Seigneur vient confirmer par des grâces ecclésiales le baptême de l'un de nos petits baptisés, grâces qui ne cessent d'abonder depuis les baptêmes de mes enfants et petits-enfants.
1) Par ces grâces personnelles et familiales reçues, je suis attentive à ces moments particuliers depuis le baptême de la petite EMMA, tels que mes précédents courriels vous ont permis de le percevoir. Aujourd'hui, le baptême du petit Damian permet de saisir l'Action du Seigneur auprès de sainte Claire et de saint François par cette « croix de St-Damien d'Assise ». Cette croix fut conservée par les Moniales Clarisses d'Assise, communauté fondée par Sainte Claire, le dimanche des Rameaux (1193/1194-1253). En 1257, quand les Clarisses quittent San Damiano pour San Giorgo, elles emportent avec elles le crucifix qu'elles gardent précieusement pendant 700 ans. Durant la Semaine sainte de 1957, peu de temps avant le concile (1959/1965), le crucifix est exposé pour la première fois au-dessus du nouvel autel dans la chapelle S. Giorgio, dans la basilique Sainte Claire d'Assise.
2) En sol canadien, cette communauté féminines prend naissance au diocèse de Valleyfield, peu après sa fondation. Elle rayonnera au Japon et Haiti. Ce diocèse m'inspire grandement puisqu'en ce lieu, au jour du dimanche consacré à l'oecuménisme, je devenais 'ministre de la Parole', lors du baptême de mon premier petit-fils, Alex, né au jour de l'année centenaire de ce diocèse (22-11-1991/1992). Je devenais 'ministre extraordinaire du baptême' de mon second petit-fils, le 13 novembre 1994, jour anniversaire du décret sur saint Joseph dans la liturgie romaine par le pape Jean XXIII. Il était né le 22 juillet en la fête de sainte Marie-Madeleine.
3) À cet égard, je suis heureuse de vous présenter la lettre que j'ai fait parvenir à notre Saint-Père, le pape François. Elle apporte quelques précisions supplémentaire. Ce charisme papal et l'appel à une transformation ecclésiale ne cessent de se dire, suite à mon expérience de foi (01-11-1977/29-03-1978) qui se confirme depuis dans les évènements: depuis mon premier lieu de travail en cette paroisse, soit le 28-09-1978, jour du décès du pape Jean-Paul I. (...)
Croyant à cette Action du Seigneur qui se poursuit toujours au sein de la vie de notre Église, je vous présente à tous et toutes et chacun d'entre vous cet engagement ecclésial particulier, en ce Dimanche des Rameaux, jour de la fondation de la communauté des Moniales par leur Abbesse d'Assisej(1), lieu de contemplation de cette « croix de St-Damien » par saint François d'Assise.
Dans la communion des saintes et des saints,
Margo Gravel-Provencher, théologienne, co-animatrice de la pastorale du baptême en ce lieu (2012 à auj.). Membre de la SCT 399 Thorncrest, Dorval, QC H9S 2X9 514-631-4103 [email protected] ____________________________________________________________________________________________________________________________ autre site web: www.interinsigniores.ca voir rubriques 1) Mises à jour, 2) Marie, étoile de la Nouvelle Évangélisation, et 3) Oeuvres communes d'Adrienne von Speer et Hans Urs von Balthasar. courriel 1: [email protected] courriel 2: [email protected]